Be my Baby !

 

EN LECTURE GRATUITE SUR

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Romance : contemporaine

Narration : à la , au présent

spicy : médium

 

À PARTIR DE 16 ANS

 

#friendstolovers #bestfriends # #basket # # #

 

Avis de lectrice 

« Une bande d’amis réunis autour des tournois basket. Une amitié profonde qui se transforme en grand amour. Des amis contraires qui se découvrent être complémentaires. La période entre la fin d’adolescence et le début de l’âge adulte. Tout ce qu’on aimerait tous vivre ou revivre par le biais de ce bel écrit. Je vous le conseille, ainsi que sa suite. Bon moment d’évasion que j’ai lu d’un trait. Et c’est avec impatience que j’attend la suite de l’histoire de ce petit groupe d’amis.« 

 

 » C’est de loin ce que j’ai lu de meilleur jusqu’à maintenant sur Inkitt. « 

 

« J’ai beaucoup aimé cette histoire, j’attends la suite avec impatience Les personnages sont vraiment attachants et leur psychologie est très fouillée. Les détails sur le basket apportent un vrai plus à l’histoire. Le suspense est au rdv. Les scènes de jeu sont remarquablement écrites. Les relations entre les personnages sont atypiques et crédibles. Je trouve particulièrement intéressant d’avoir montré la sensibilité des personnages masculins en miroir de ceux des personnages féminins. Cela apporte du relief au récit. À aucun moment, on ne tombe dans les clichés mièvres qui peuvent polluer le genre. Merci pour ce beau travail et ce joli moment de lecture ! « 

 

Notes :

Tu as aimé ? Dis-le moi sur mon livre d’or !

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Mon challenge d’écriture :

 * Be my Baby ! a participé AU concours Fyctia  » C’EST UN DIX, MAIS… » ( 10 ANS DE NEW ROMANCE)

* ÉCRIRE UNE HISTOIRE AU « JE » AVEC MULTIPLES POINTS DE VUES

 

 

SAGA EN TROIS TOMES

 

Salut !
Moi, c’est Sasha, beau gosse de 21 ans, étudiant en fac. J’aime le basket, ma drogue… et les gros seins, mon kif suprême ! Ouais, je sais, ça fait lourdaud de base de dire ça, mais c’est un fait : je ne sors qu’avec des filles ayant au minimum un bonnet D. Le reste, je m’en fous pourvu que la fille ait un minimum de charme.

Je vis en coloc avec mon amie d’enfance, Elley. Je m’entends super bien avec elle, mais voilà… Il a fallu que son chéri la trompe pour qu’elle déprime grave. Mes deux amis, Côme et Eliott, me lancent alors un pari contre un billet : peloter la poitrine d’Elley pour qu’elle oublie l’autre enfoiré ! Me doutant de sa réaction, je refuse direct, mais les circonstances me font revenir sur ma décision et me voilà avec mes mains sur sa paire de seins !

La plus grosse erreur de ma vie ! Je ne pense qu’à ça depuis ! Elle n’entre pas dans mes standards habituels avec son 90C. Pourtant, j’ai encore envie de les tripoter au point de penser que c’est la meilleure poitrine que j’ai eue en mains, mais… c’est ma meilleure amie ! Help !

 

TOME 1

LIRE SUR FYCTIA (T1 UNIQUEMENT) LIRE SUR WATTPAD
LIRE SUR INKITT  

 

TOME 2 

LIRE SUR INKITT LIRE SUR WATTPAD

 

TOME 3 

Novembre 2024

 

Note : étant en lecture gratuite, cette histoire est publiée en état de 1er jet sur ces plate-formes d’écriture. Un travail éditorial et de correction sera fait ultérieurement. Il reste toutefois très acceptable à la lecture. Merci.

 

 

EXTRAIT 

 

Elle lève alors les yeux vers moi et je devine à sa mine de Chat Potté que je suis son seul recours. Je soupire. Bien évidemment, Sasha, tu tombes toujours à pic.

— Putain, Elley ! Tu fais chier ! Ce n’est pas parce que mes parents sont plus friqués que les tiens et que j’ai plus de largesses financières que toi, que je peux tout régler !

— S’il te plaît, Sasha ! Je te les rembourse dès que je reçois la thune des parents !

— Si je te les file, je vide ce qu’il me reste sur mon compte !

— Oh ! Eh ! Ça va ! Monsieur Harpagon ! Il y a quelques jours, tu étais pourtant volontaire pour allonger la somme afin d’aller plus loin avec mes seins !

Je me fige et je crois qu’elle réalise elle-même que ses propos sont allés plus loin qu’elle ne l’aurait voulu. Mais par-dessus tout, devons-nous vraiment relancer cette histoire de tripotage de seins sur la table ? J’ai déjà du mal à oublier le désastre de l’autre soir avec Mélody… Dois-je en conclure qu’elle veut reprendre où nous nous étions arrêtés ? J’en perds mes mots. Je ne sais plus si je dois la relancer dans cette idée et surtout, elle me met le doute sur ma capacité à résister à cette tentation.

Elle s’attrape les cheveux et lâche un râle d’agacement.

— Pardon ! Ce n’est pas ce que je voulais dire ! Enfin si ! Mais je ne voulais pas jeter un malaise sur… ça ! Enfin, tu vois, quoi ?!

Je ferme les yeux. Elle va avoir ma peau à me buriner la tête avec ses seins ! Voilà ! Maintenant, mes yeux bloquent à nouveau dessus, sous son débardeur qui les moule parfaitement. Elle me lance des regards que je tente d’esquiver pour ne pas qu’elle me prenne en flag en train de reluquer sa poitrine.

— Je… vais me débrouiller ! me dit-elle soudain.

Je vois bien qu’elle essaye de se convaincre de garder du positivisme dans sa situation.

— OK ! OK ! dis-je, vaincu. Je te les transfère. En échange, tu te tapes le ménage pendant un mois !

Elle fait un O. avec sa bouche en réponse, montrant son choc face à mon deal qu’elle semble juger exagéré, mais à la guerre comme à la guerre.

— Quoi ? dis-je, faussement innocent. Tu préfères l’option « je touche tes seins sans soutif ? » en contrepartie ?

Elle se fige avant de me serrer la main.

— Ménage pour un mois ! Vendu !

Merde ! Elle ne veut vraiment pas que je lui tripote les seins ?! Ça lui a déplu autant que ça ? Oui… C’est vrai, les circonstances sont discutables, mais quand même ? Non ? Argh ! Je me rends compte que ça me fait chier qu’elle refuse net cette possibilité. Je dois vraiment me guérir de cette fixette sur ses seins ! Maudit Côme ! Va en enfer avec tes paris !

— Merci ! Tu es mon sauveur !

Elle me saute au cou et m’embrasse sur la joue, puis s’éloigne de moi. Son soulagement est certain, mais pas le mien. Si je suis heureux de lui venir en aide, l’amertume demeure en moi. Je dois me contenter de serrer les dents… Sauf que ça me chagrine vraiment, encore plus maintenant qu’elle vient de se coller à moi et que sa poitrine s’est écrasée sur mon torse pour déposer son bisou sur la joue.

— Tu… as vraiment détesté mon massage… pectoral, pour réfuter aussi vite le deal ?

— Quoi ?

Elle me dévisage, perplexe.

— C’était si horrible que ça ?

Je reste pendu à ses lèvres. Je vois que mes questions la crispent et la gênent. Malgré tout, tout ça m’obsède. Elle s’agite, semblant chercher quoi dire. Est-ce si difficile de me répondre ? Dois-je en déduire qu’elle cherche à ne pas me blesser, tout en admettant qu’elle n’a pas aimé ? Je souffle et passe ma main dans mes cheveux. Tandis que j’ai des groupies au basket qui n’attendent que mes mains sur leur poitrine, je me retrouve comme un con face à Elley.

— C’est bon ! J’ai compris ! lui dis-je alors, tout en quittant sa chambre.

— Sasha ! Attends !

Je cesse ma progression, mais ma fierté est déjà suffisamment blessée pour avoir en plus la force de me retourner.

— La question n’est pas le fait d’avoir apprécié ou pas…, me répond-elle alors, mais plutôt les circonstances…

Je me tourne alors avec une lueur d’espoir qui me surprend moi-même. Elle a aimé ? Dans ce cas, une nouvelle question me brûle les lèvres.

— Donc, si les circonstances avaient été autres…, tu aurais accepté la suite sans soutif ?

Elley me fixe, puis dévie son regard. Ses joues rougissent. Je l’embarrasse.

— Il… Il n’y a pas d’autres circonstances…, me répond-elle avec une petite voix. C’est toi et moi, après tout. On est juste amis… Nous ne sortons pas ensemble.

 

 

TOI SEUL(E) PEUT ME COMPRENDRE

 

EN LECTURE GRATUITE SUR

Romance : contemporaine

Narration : à la , au présent

spicy : médium

 

À PARTIR DE 16 ANS

 

#lycée # # # # #réputation

 

 

Notes :

Tu as aimé ? Dis-le moi sur mon livre d’or !

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Mon challenge d’écriture :

 * participe AU concours Fyctia  » green flag. »

* ÉCRIRE UNE HISTOIRE À LA PREMIÈRE PERSONNE, MAIS AVEC UNIQUEMENT LE POINT DE VUE DU PERSONNAGE PRINCIPAL.

 

 

 

Quand deux personnes à la réputation négative viennent à se rapprocher…

 

Lorsque Valériane s’adresse pour la première fois à Anton, rien ne les prédisposait à se parler à nouveau par la suite. Il est le premier de la classe, victime toute trouvée des brimades des garçons et des filles du lycée. De stature frêle et de nature réservée, c’est l’archétype du garçon qui frôle les murs, espérant passer inaperçu.

Pourtant, par un concours de circonstances, Valériane, ayant elle-même la difficile réputation de la fille facile de l’école que tous les garçons désirent et que toutes les filles aiment détester, va s’intéresser à lui en devenant son éducatrice sexuelle au puceau qu’il est.

Mais lequel des deux va le plus y trouver son compte ? Elle qui se sert de lui pour soulager ses propres douleurs, mais qui ne va pas rester insensible à ce garçon gentil et maladroit, ou lui qui va creuser au-delà des apparences de Valériane et changer à son contact ?

 

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EXTRAIT 

 

Je reprends ma route, lui à deux pas derrière moi, quand au détour d’un bâtiment, j’entends des rires. Très vite, je m’arrête. Il ne faut pas surtout qu’on nous voie ensemble. Anton se colle à mon dos et je lui fais un chut de l’index sur ma bouche. Un groupe de filles papotent contre le mur du bâtiment. La loose ! On va devoir prendre un autre chemin. Ça me gonfle !

— Mais quelle salope, celle-là ! Maintenant, elle se tape Renzo ! Comment a-t-il pu craquer, lui aussi ? Il a de la merde dans les yeux ou quoi ?

Aaaah… Nous y voilà ! Ça jacasse encore sur moi dans mon dos.

— Elle a dû lui montrer ses nichons et il s’est senti obligé de lui dire oui pour ne pas la froisser.

Elles gloussent de leur stupidité. Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre comme connerie ! C’est lui qui m’a fait du rentre-dedans ! Je réalise soudain que je ne suis pas seule à entendre ça. Mince ! Anton est avec moi. Je jette un regard au-dessus de mon épaule. Il est calme, le dos contre le mur, le regard fixant le sol. Merde ! Cela doit le mettre mal à l’aise.

— Il parait que sa mère est une alcoolique.

J’écarquille les yeux ! Comment sait-elle cela ?

— La mère de Maddie l’a vu au supermarché acheter plusieurs bouteilles d’alcool. Et vu son teint blafard et ses yeux brillants, il ne faisait que peu de doutes que ce soit une alcoolique. La tante de Maddie était alcoolique aussi, donc sa mère et elle savent de quoi elles…

Tout à coup, je n’entends plus rien. Le son est occulté de mes oreilles. Je me retourne et je m’aperçois que ce sont les mains de Anton qui couvrent mon audition. Pourquoi fait-il cela ? Ce n’est pas comme si je ne savais pas tout cela. Ne serait-il pas plus logique que ce soit lui qui n’entende pas cela ? Pourtant, il me fixe avec une détermination timide, puis secoue la tête négativement. J’ai envie de pleurer. J’ai envie de crier. J’ai envie de fuir loin. J’ai honte. Mon malheur semble en cet instant dépasser le sien. Il me protège, tout en me rappelant que je suis plus minable que lui, le harcelé de l’école. Il retire alors ses mains de mes oreilles tout doucement et m’attrape le poignet. Il me tire ensuite loin de tout ça. Nous courons presque. Nous avançons encore et encore. Le plus loin possible de toutes ces médisances avant que je ne crie.

— Stop ! Arrête !

Il m’écoute et me lâche. Nous sommes un peu essoufflés tous les deux. 

— Qu’est-ce qui te prend ? Ça ne va pas la tête ?

— Tu voulais encore entendre ce qu’elles bavaient sur toi ? me dit-il alors, le dos tourné, avec un fond de colère dans la voix.

Je ne réponds rien. Bien évidemment, je ne suis pas aussi masochiste que ça.

— Pourquoi fais-tu cela ? Cela te mène à quoi ? À te sentir pour une fois supérieur ? Pouvoir devenir enfin un héros qu’on admire ?!

Il se tourne alors vers moi.

— Non, c’est juste que je sais ce que c’est, que d’être la cible de la méchanceté des gens. La supporter pour moi, c’est une chose, mais la supporter pour les autres, je ne peux pas. Désolé. C’est un peu trop pour moi…